Film numéro 3

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J'ai failli décrocher des le début ...
Mais même si je n'ai pas adhérer, j'aime les intentions et ce que l'auteur veut dire

Oui, vous m’avez tous fait la remarque. Je ne me souvenais plus que ça commençait comme ça.

J’essaie quand même de mettre des films africains parce que peu de pays produisent des films qui s’exportent bien sur ce continent. Ça permet de voir autre chose.
Quand je disais que je ne me souvenais plus dans le précédent post, c’est que certains films comme Police, adjectif ou Touki-bouki, je ne les ai pas revu depuis quelques années. Pour faire la sélection je dois déjà voir pas mal de films et je n’ai pas trouvé le temps pour ceux que je connaissais déjà. D’où le côté un peu perdu à ne savoir trop quoi répondre à vos commentaires parfois.

Oui le suplice pour la fille qui mange meme pas fe viande de voir tuer des animaux rien que pour un film. Mais ce n'ai qu'un des nombreuses choses qui mon repoussées.

Tu n'as pas à t'excuser pour ça, je suis même gêné de ne pas plus apprécié vu tout le mal que tu te donnes.
Concernant Touki Bouki c'est juste que ça surprend de voir ainsi des animaux égorgés, mais le reste est soft, ça va.

Pas convaincu par le film. Déjà les passages avec les animaux j'ai du mal à comprendre l'intérêt même dans ce contexte. Puis je n'ai pas trouvé l'histoire transcendante. Après en dehors de l'ouverture, le film se suit sans déplaisir même si je ne suis pas fan du traitement. Ça vaut la découverte mais pas fan.
Par contre j'ai eu un bon fou rire en entendant la chanson Plaisir d'amour un an après la projo de Batman le film. Même utilisée trois fois, c'est toujours moins ridicule qu'Adam West qui repense à des trucs cochons avec Catwoman.

Comme Inglourious et Cecile plus haut, suite aux premières images j'ai failli couper et passer au film suivant, personnellement je suis très sensible à ça..... Mais en faisant un petit effort, une fois passé le dégoût et l'indignation, j'ai compris le signe brutal derrière ces images, la violence avec laquelle le héros s'est vu retiré ses bêtes, la cruauté de la réalité de laquelle les personnages veulent s'échapper. Ce réalisme cru contrasté avec cette volonté plus onirique et décalé, à travers les mouvements de caméra, le découpage des plans, le son et la musique, ce contraste a fini par faire passer mon sentiment du coq à l'âne, et fait vivre une expérience un peu désinvolte.